A Bujumbura, ce mardi 11 août 2015, M. Philippe Nzobonariba, porte-parole du gouvernement du Burundi, s’est exprimé sur la dernière initiative de la France à l’ONU, où le Conseil de sécurité a décidé d’envoyer une mission onusienne au Burundi pour s’enquérir de la situation sécuritaire, pourtant bonne à 98% sur tout le territoire. Ce sont les média de la French Media Network ( RFI, AFP, le Monde , France 24, TV5 Monde etc.) qui focalisent sur chaque fait divers qui arrive au Burundi pour en faire un drame ou encore continuer à donner leur attention particulière à quelques fouteurs de troubles localisés dans 4 quartiers de Bujumbura, à qui, certains états étrangers encouragent et fournissent des grenades et quelques armes …
M. Philippe Nzobonariba s’est aussi exprimé sur la volonté qu’à la Communauté internationale à vouloir organiser à tout prix un dialogue interburundais, avec un médiateur.
“Si actuellement ils estiment qu’il faut désigner un autre médiateur, il sera le bienvenu. Mais il faut que le gouvernement soit officiellement saisi pour qu’il donne son avis là-dessus … “, a t’il insisté. Il ajoute que ce médiateur devra respecter les lois du pays.
Le Burundi a subit une – Révolution de Couleur – ou une tentative de changement de régime organisée par les USA, la France et la Belgique.
Un coup d’état a raté le mercredi 13 mai 2015. Depuis quelques semaines, ces pays agresseurs ont lancé – le scénario syrien – pour le Burundi. C’est à dire tenter d’organiser une Rébellion à partir du Rwanda, et organiser des assassinats ciblés de membres de l’Etat du Burundi afin de faire peur et de semer le KO. Cela, comme en Syrie, va provoquer un flux de réfugiés importants …
DAM, NY, AGNEWS, le mercredi 12 août 2015