{jcomments on}DAM, NY, AGNEWS, le 18 juin 2010- Avant les scrutins de 2010 au Burundi, tous les partis politiques se sont mis d’accord sur l’institution arbitrale des élections qu’est la CENI. Les élections démocratiques au Burundi viennent de débuter, et après le premier scrutin [des municipales – ou Communales], reconnu comme réussi par les observateurs nationaux -internationaux et la CENI, des partis politiques burundais n’arrivent pas à accepter la défaite (*). Une véritable sanction populaire !
L’acharnement de ces partis politiques et leurs insultes font que la CENI burundaise va devoir réagir pour réasseoir son autorité. Elle est la garante de la voix du Peuple des Barundi. “Lors d’un match de football, si une équipe conteste le résultat parce qu’elle a perdu, et qu’elle s’en prend à l’arbitrage, elle peut recourir à la Loi (des Cours au sein des instances footballistiques existent).”, s’exclame un badaud à Bujumbura. Au Burundi, les partis politiques qui ont perdu les élections n’ont pas respecté la Loi en vigueur (notamment les règles de la CENI, et la Loi électorale …).
La CENI burundaise peut disqualifier du “système démocratique des Barundi” les partis politiques qui ne respectent pas les règles. Elle peut demander aux autorités judiciaires burundaises, conformément à la Loi, d’arrêter les troubles fêtes.
La CENI doit informer l’opinion internationale, en collaboration avec l’ «international des CENI » [garante des institutions démocratiques dans le Monde ] et autres institutions internationaux solidaire, des mauvais perdants barundi, et exiger des sanctions judiciaires [nationales et internationales] à leurs égards. Afin de stopper, les informations mensongères que ces derniers véhiculent au niveau international [via AFP, Xinhua, …] pour mettre le discrédit sur la CENI, et les institutions démocratiques burundaises …
Selon des experts internationaux, cette mauvaise image qu’octroient les perdants des élections démocratiques burundaises fait perdre au Burundi près de 100 millions de Dollars par jour en termes d’investissement potentiel. « Maintenant à la CENI de réagir ! », s’exclame un homme d’affaire burundais !
Le Burundi sort de plus de 40 ans d’une Dictature militaire sanglante (2.5 millions de victimes). Depuis cinq ans, la démocratie est de retour…