{jcomments on}DAM,NY,AGNEWS, le 2 juillet 2010 – Les Barundi de Kinshasa, de Kigali, de Nairobi, de Kampala, de l’Angola, du Zimbabwe, de l’Afrique du Sud, de l’Australie, des USA, du Canada, du Benelux, d’Espagne, de Portugal, d’Italie, du UK, de France, de Scandinavie, de Chine … ont plébiscité S.E. Nkurunziza Pierre, lors du dernier scrutin présidentiel de juin 2010.
Les Barundi de la diaspora ont voté “pour” S.E. Nkurunziza, à 77.1% (Ceni). La participation était de 78.5%, soit un total de 4.619. 3605 citoyens se sont exprimés dont 2563 “pour” Nkurunziza et 803 “contre”. 42 Barundi ont voté “bulletins nuls”.
Très aimé, ce Président atypique du Burundi, marque par sa jeunesse, un nouveau style de gouvernance en Afrique. Et les citoyens barundi a plus de 90% le lui rendent bien. En cinq ans de pouvoir, il a perturbé l’échiquier politique dans ses habitudes … S.E. Nkurunziza Pierre s’est mis à proximité permanente aux côtés de plus nécessiteux de la société burundaise. Aujourd’hui, les 117 communes burundaises, grâce à la décentralisation en cours, sont devenues de véritables enjeux de pouvoir. “Désormais, on s’en que l’on s’y développe … Ce n’est plus comme avant ! “, S’exclame un Burundais de New York. Les administrateurs communaux vont de plus en plus avoir à gérer des finances très importantes. ” L’administrateur qui déconne ou qui ne participe pas aux travaux communautaires, ou n’encourage pas les jumelages avec des communes étrangères, ou n’aide pas les associations de base dans sa commune à trouver des financements de projets , est disqualifié d’office ! On ne rigole plus dans le Burundi d’aujourd’hui … “, entonne t’il. “Cà c’est la nouvelle gouvernance exigée par – le style Nkurunziza – . Cela ne plait nullement à Bujumbura où l’élite globalement a été éduquée par le Mobutisme ou Buyoyisme… La prestance d’abord, – avoir l’air d’être un homme d’Etat ou du sérail – “ . Les Barundi de la diaspora disent “Bravo !” à ce fils du pays qui a enfin compris ce dont l’Afrique a besoin !
Ce signal fort et ce soutien de la Diaspora, le gouvernement Nkurunziza en avait fortement besoin car la Diaspora burundaise demeure le phare des Barundi dans cette globalisation qui s’impose au Monde actuel.
Le Burundi sort, depuis 5 ans, de 40 ans d’une dictature militaire sanglante qui a causé plus de 2.5 millions de victimes. Aujourd’hui, le Burundi est devenu un état démocratique.