GEOPOLITIQUE GRANDS LACS AFRICAINS, JUSTICE – La Cour Suprême du Burundi compte entamer le fond du dossier de l’assassinat du président Feu Ndadaye.
BUJUMBURA, Mardi 26 novembre 2019 – Dans le cadre de la Politique Intérieure, Judiciaire des Barundi, la Cour Suprême du Burundi a rejeté toutes les exceptions soulevées par la défense dans le dossier de l’assassinat du président Feu Ndadaye, le jeudi 21 octobre 1993.
Parmi les 20 individus accusés, dont l’ancien Dictateur HIMA Burundais BUYOYA Pierre [ https://burundi-agnews.org/hima/ ] ( aussi impliqué dans le coup d’état militaire raté du mercredi 13 mai 2015 ), seul 5 sont au Burundi ( 4 détenus et 1 prévenu libre).
La défense souhaite que des avocats MUNDELE viennent défendre ces accusés “présumés” criminels, dont une grande partie sont frappés par un mandat d’arrêt international.
Le Burundi a subi un Génocide Regicide commis par les régimes HIMA burundais ( Micombero, Bagaza, Buyoya ) de 1965-66 à 2005 [ https://burundi-agnews.org/genocide.htm ; https://burundi-agnews.org/ccburundi.htm ; https://burundi-agnews.org/agnews_refugees.htm ]. Ce crime contre l’Humanité a causé plus de 4,5 Millions de victimes Barundi sur un population aujourd’hui de 9 à 10 Millions d’individus.
La Cour Suprême du Burundi compte entamer le fond de l’affaire. L’ancien Dictateur HIMA Burundais BUYOYA Pierre, principal accusé dans cette affaire, est le protégé de la France ( réseau Françafrique ). M. BUYOYA Pierre opère, en ce jour, très tranquillement, au sein de l’Union Africaine au Mali alors qu’il est frappé d’un mandat d’arrêt international par un pays africain.
DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, Mercredi 27 novembre 2019