Le juriste français, M. Juan Branco, dénonce le non respect du droit international , à commencer au niveau des ONG Droit de l’Hommiste, du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, au Conseil de Sécurité de l’ONU, et à la CPI. Toutes ces structures travaillent avec des sources et faits non vérifiés, ou totalement inexistant.
A Bujumbura, ce jeudi 1er septembre 2016, du côté de l’Etat burundais, on est tombé admiratif du travail de M. Juan Branco, juriste français et auteur de «L’Ordre et le Monde» [ http://www.fayard.fr/lordre-et-le-monde-9782213680880 ].
M. Juan Branco explique comment le Conseil des droits de l’homme de l’ONU – ohchr [ http://www.ohchr.org/FR/HRBodies/HRC/Pages/HRCIndex.aspx ], les multiples organisations des droits de l’Homme ( FIDH, HRW etc. ), et la CPI bafouent le Droit International, en utilisant de fausses preuves, avec des conséquences très graves par exemples : des décisions sans preuves prises au Conseil de Sécurité, avec des résolutions ( chap. 7), dont la finalité est la destruction d’un pays ( la Lybie, l’Iraq, la Syrie, etc. ) ; des condamnations à perpétuité etc …
Voici une vidéo où M. M. Juan Branco intervient : https://www.youtube.com/watch?v=wfw2y9W6Otk
Au Burundi, où le Conseil des droits de l’homme de l’ONU ( section Torture ) a demandé des explications écrites à l’Etat d’ici octobre 2016 par rapport à des accusations contre l’Etat fournit à ce conseil par des ONG des droits de l’Homme en étroite collaboration avec les acteurs du putsch manqué de mai 2015, les Barundi commencent à comprendre comment cela fonctionne …
[ https://www.youtube.com/watch?v=koYzkEWHtQA ]
C’est à partir de fausses preuves ( pas de sources et de faits vérifiés) fournis par des locaux, agents exogènes, sur lequel des décisions très graves sont prises contre le pays, et cela en totale infraction avec le droit international.
DAM, NY,AGNEWS, le jeudi 1er septembre 2016