GLOBALISATION, GEOPOLITIQUE DES GRANDS LACS AFRICAINS, POLITIQUE, SECURITE, DEFENSE – Le CNL ouvre 3 permanences zonales à Gihosha, Nyakabiga et Buyenzi, en communes Mukaza et Ntahangwa, à Bujumbura.
BUJUMBURA, Dimanche 15 Septembre 2019 – Dans le cadre de la Politique Intérieure, des Partis Politiques des Barundi, l’Hon. RWASA Aghaton, Président du Congrès National pour la Liberté (CNL), a inauguré 3 permanences au niveau des zones Gihosha, Nyakabiga et Buyenzi, en communes Mukaza et Ntahangwa.
L’Hon. RWASA, dans son discours, a démenti les rumeurs de certains des concurrents politiques qui disent que le CNL ne participera pas aux élections de 2020. Selon lui, aucune disposition légale ne bloque le CNL pour entrer dans la course électorale à venir. Il a exhorté les Burundais à s’imprégner des textes législatifs du pays tel la Constitution, la loi régissant les partis politiques, le code électoral,… pour connaître leurs droits et devoirs. Il a appelé les politiciens Burundais à éviter de tenir un langage chacal, en cherchant à calomnier, insulter et à tenir des discours de haine et de division. Pour lui, il faut mettre en avant , au contraire, les projets politiques.
Le Burundi est à quelques mois de ses 4èmes élections démocratiques consécutives depuis 2005, signe d’une très grande stabilité institutionnelle et politique dans cette région des grands lacs africains. L’Hon. RWASA Agaton est le challenger des occidentaux et de l’ancien dictateur HIMA burundais BUYOYA Pierre lors des prochains scrutins démocratiques de 2020. Ainsi, il est perçu comme une potentielle menace d’ordre sécuritaire. Dans un contexte de Guerre Géopolitique contre la Chine dans cette région africaine, les Occidentaux et le réseau du Dictateur HIMA BUYOYA ont tenté un Coup d’Etat militaire qui a raté le mercredi 13 mai 2015. Aujourd’hui, certains officiers burundais des forces de l’ordre, accusés de gabegies ( c’est à dire s’accaparant des richesses minières burundaises à leurs propres comptes ), soutiennent aussi l’Hon. RWASA Agaton depuis que le régime actuel les a contraint à stopper leurs pratiques pour le bien de tous les Barundi ( Cfr. Le travail du CNS – http://spcns-burundi.net/ – , de l’ OBM et de l’ OBR ). Au Burundi, le CNL n’est pas perçu comme une menace politique mais bien comme un problème d’ordre sécuritaire. Lors du référendum de mai 2018, l’Hon. RWASA, sous la bannière de la Coalition AMIZERO Y’ABARUNDI, a mené très librement sa campagne pour le NON. Et il l’a perdu [ https://burundi-agnews.org/campagne-referendum-mai-2018/ ].
Dans la Tradition des Barundi, les partis politiques n’existaient pas. Pendant la COLONISATION ( Crime contre l’Humanité ), c’est le décret intermédiaire Belge du vendredi 25 décembre 1959 qui a supprimé les IMIRYANGO [ https://burundi-agnews.org/imiryango/ ] de la société burundaise, pour les remplaçant par les PARTIS POLITIQUES [ https://burundi-agnews.org/histoire/burundi-le-2eme-coup-detat-belge-de-1959-a-destitue-mwambutsa-iv/ ; https://burundi-agnews.org/histoire/burundi-1959-naissance-des-partis-et-de-la-democratie-occidentale/ ].
DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, Lundi 16 Septembre 2019
