International Crisis Group ICG, l’organisation de SOROS conduit par la France, croit plus à la GUERRE qu’à la Démocratie au Burundi (1).
Depuis Bruxelles, capitale de la Belgique et de l’Union Européenne, mardi 5 avril 2017, l’ONG International Crisis Group [ https://fr.wikipedia.org/wiki/International_Crisis_Group ] ICG , présidée par le Français Jean-Marie Guéhenno ( Secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix de l’ONU – octobre 2000 à juillet 2008 – ), financée à 60% par des Fondations occidentales ( comme l’OPEN SOCIETY INSTITUTE de Georges SOROS ) et des multinationales surtout Anglo-saxonnes, et 40% par des Etats de l’Union Européenne UE, vient de sortir un article [ https://www.crisisgroup.org/africa/central-africa/burundi/247-burundi-army-crisis ] où elle explique que la Force de Défense Nationale FDN du Burundi ( l’armée burundaise ) est en sérieuse difficulté et même en ruine depuis mai 2015.
ICG (2) regrette que le RESEAU MILITAIRE DE L’ANCIEN DICTATEUR HIMA BUYOYA PIERRE, ayant participé au PUTSCH MILITAIRE RATE DU MERCREDI 13 MAI 2015, ne soit plus dans la FDN. Ainsi ICG déclare de la FDN actuelle est en ruine. Pour ICG, il y a 2 scénario au Burundi : 1/ soit une nouvelle confrontation avec un coup d’ETAT militaire à l’horizon ; ou 2/ une armée nationale qui demeure mais qui reste en déclin.
A Bujumbura, mardi 3 novembre 2015, l’officier de police Pierre Nkurikiye, porte-parole du Ministère burundais de la sécurité publique, a réaffirmé à la presse qu’il n’y avait pas de rébellion au Burundi, comme ICG ( International Crisis Group ) le laissé entendre sur une chaine internationale française [ http://www.lemonde.fr/afrique/video/2015/11/02/burundi-on-glisse-progressivement-vers-une-nouvelle-guerre-civile_4801637_3212.html ], allant jusqu’ à annoncer un début de guerre civile au Burundi. En novembre 2016, face à une commission du Parlement Belge [ https://burundi-agnews.org/wp-content/uploads/2017/04/bdi_burundi_kaburahe_antoine_parlement_belge_novembre_2016.pdf ], M. Hans Hoebeke ( International Crisis Group ) disait quasi regretté qu’au CONGO RDC, la Force Négative rwandaise M23 n’ait pas été intégré dans les Forces Armées de la République Démocratique du Congo FARDC. Voici ses propos : “le conflit entre les forces armées congolaises et le M23 en 2012-2013 aurait pu initier une nouvelle dynamique mais la communauté internationale n’a jamais réussi à faire respecter les engagements pris par le gouvernement congolais”. Pourtant grâce à une intervention de l’ONU, incluant des forces armées africaines ( notamment la Tanzanie ), la Force Négative rwandaise M23 a été défaite en se repliant au Rwanda et en Ouganda.
Au même moment, toujours au Parlement Belge, M. Kaburahe Antoine (3), rédacteur en chef d’Iwacu [ http://www.iwacu-burundi.org/ ], un média burundais privé financé par le Reseau SOROS ( via Le MONDE AFRIQUE, The GUARDIAN etc. ), expliquait ceci : ” Le régime actuel semble imperméable aux sanctions et n’a pas peur de renoncer aux aides financières. Il a décidé de garder le cap, quitte à appauvrir la population et à s’aliéner le monde entier. Il ne faut en tout cas pas relâcher les pressions. Certains mouvements, tels que RED-TABARA et FOREBU, envisagent le recours à la force pour se débarrasser des dirigeants du pays. Si le régime a l’impression que la communauté internationale s’essouffle, cela
va renforcer le souhait de certains de recourir à la force…”
M. Kaburahe Antoine a montré aux Parlementaires Belges, que dans le contexte burundais actuel, qu’une alternative existait au niveau militaire avec le RED-TABARA et le FOREBU qui sont des organisations ” ou Rebellions” rassemblant des ex-militaires HIMA burundais putschistes ayant fui au Rwanda après l’échec du putsch du mercredi 13 mai 2015 au Burundi.
Dans son article du vendredi 13 janvier 2016 [ Guerre hybride : Géopolitique des Grands Lacs. Le temps est-il venu pour la guerre hybride dans les hautes terres africaines et les Grands Lacs? – http://www.mondialisation.ca/guerre-hybride-geopolitique-des-grands-lacs/5573258], M. Andrew Korybko pense que le dictateur rwandais KAGAME ( avec ses alliers occidentaux – Réseau Impérialiste et Financier ) ambitionne, en surfant sur le GENOCIDE TUTSI, de lever une armée avec les anciens militaire HIMA burundais PRO-BUYOYA contre le Régime démocratique des BARUNDI, derrière le très populaire Président africain du Burundi [ https://burundi-agnews.org/inaugurations/ et https://burundi-agnews.org/tdc/ ] ou, carrément, une force internationale… Dans le contexte, où les USA de TRUMP viennent de bombarder la SYRIE, en violation totale du Droit Internationale et surtout en faisant fi du Conseil de Sécurité de l’ONU, on pourrait voir une nation parmi les ennemis des Barundi faire de même.
En 2015, dans un contexte de GUERRE GEOSTRATEGIQUE contre la CHINE en Afrique, le Burundi a subi une REVOLUTION DE COULEUR ou une TENTATIVE DE CHANGEMENT DE REGIME, organisée par les USA ( OBAMA + RESEAU SOROS ), la FRANCE, la BELGIQUE,le RWANDA, et le Réseau de l’ancien DICTATEUR HIMA BURUNDAIS BUYOYA PIERRE, qui s’est terminé par l’échec du Coup d’Etat militaire du mercredi 13 mai 2015. Depuis, ces mêmes pays et RESEAUX ennemis des Barundi se sont lancés dans une GUERRE HUMANITAIRE contre le Burundi [ https://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/ ], en utilisant la Cour Pénal Internationale CPI. Ces derniers mois, parmi ces ennemis des BARUNDI, une autre voit semble refaire du chemin, celui de favoriser des REBELLIONS dans la région des Grands Lacs afin de contrarier les plans CHINOIS. C’est à dire relancer des GUERRES …
Notes :
(1) Jean-Marie Guéhenno, La fin de la démocratie – Persée [ http://www.persee.fr/doc/chris_0753-2776_1994_num_42_1_1687 ]
(2) M. Nindorera Willy, représentant de l'”International crisis group (ICG) au Burundi [ http://www.arib.info/index.php?option=com_content&task=view&id=195 ou https://bi.linkedin.com/in/willy-peter-nindorera-39854b59 ou http://www.genocideprevention.eu/projects/africantaskforce/members-african-task-force-on-mass-atrocities-prevention/ ]
(3) Un civil du réseau de l’ancien Dictateur Hima Burundais BUYOYA Pierre. Pendant la Guerre Civile du Burundi ( 1993 à 2003), M. Kaburahe Antoine était rédacteur du Media sur le NET – IN-BURUNDI – , où il soutenait le Regime dictatorial du Dictateur Hima Burundais BUYOYA Pierre qui organisait des camps de concentration contre les Barundi : https://burundi-agnews.org/ccburundi.htm . En 2015, après le putsch militaire raté des Hima burundais le mercredi 13 mai 2015, M. Kaburahe Antoine a fui la justice burundaise pour la Belgique où il vit actuellement.
DAM, NY, AGNEWS, le lundi 10 avril 2017