A Bujumbura, vendredi 15 octobre 2016, M. Martin Nivyabandi, ministre burundais en charge des Droits de la personne humaine et du Genre, a organisé une réunion de travail avec les représentants des organisations non gouvernementales locales et internationales partenaires, afin de vérifier ensemble si les conventions de partenariat signées avec l’ETAT du BURUNDI sont respectées.
Le Ministre désapprouve la manière de fonctionnement de certaines ONGS … M. Nivyabandi veut instaurer un cadre de dialogue permettant d’assurer le suivi et l’évaluation de ces engagements ONGs par ONGS.
Au Burundi, de nombreuses ONGs internationales ou structures multilatérales utilisent des employés occidentaux et quelques consultants locaux plus en proie au lucre. Ainsi, dans ce monde globalisé, ces ONGs deviennent souvent des outils de – Guerre Humanitaire – contre le pays qui les hébergent … Les exemples au Burundi, ce sont le Bureau des Droits de l’Homme de l’ONU et le Haut Commissariat aux Réfugiés de l’ONU HCR, qui, lorsque les diplomates de leur pays d’origine leur demandent de sortir des rapports avec des chiffres tonitruants et faux ou imprécis ( ex. sortir les mots de viols, de génocide ou de 300 000 réfugiés Burundais “depuis 2015” ) pour salir le pays. Ils font une conférence de presse ou publient un rapport avec des chiffres, qui sont alors utilisés diplomatiquement contre le pays qui les accueillent. Ainsi, les Médias occidentaux prennent le relais et font croire à leurs citoyens que les gouvernants du pays en question ne sont pas dignes. Dès lors, cela permet à leurs politiciens ( occidentaux ) de dire “tout haut” que la Souveraineté de ce pays n’est plus en argument car les individus dans le pays en question sont en danger ( opposant 2 principes fondamentaux en droit international humanitaire ). Voilà, le danger de ces ONGs espions !
Le ministre burundais Nivyabandi souhaitait à travers cette rencontre prévenir ces ONGs ( souvent financées par des fondations de milliardaires soit disant caritative, dont les patrons sont des actionnaires de multinationales) , que désormais ce comportement c’est terminé. Sinon dehors, car il faut respecter la Souveraineté de l’Etat qui les accueillent.
DAM, NY,AGNEWS, le mardi 18 octobre 2016