ÉCONOMIE – L’ouverture au Marché des Capitaux doit être accompagnée d’une législation fiscale taxant le capital mobilier sur les transactions boursières, sinon l’Office Burundaise des Recettes (OBR) n’en bénéficiera pas car cela encouragera l’évasion fiscale.
BUJUMBURA, le Lundi 5 novembre 2018 – M. MUGENZI Arsène, chef du service régulation du marché des capitaux du Burundi à la Banque de la République du Burundi (BRB), se révélant à la presse et sur compte Twitter, a expliqué que le marché des capitaux présentera un grand avantage dans la création de l’emploi, encourageant les jeunes Barundi diplômés qui ont une formation en sciences économiques, en droit, en mathématiques ou en sciences quantitatives et psychologiques, et aux autres, à s’y intéresser, et annonçant que le marché des capitaux sera une réalité au Burundi avant la fin de l’année 2018.
Le mercredi 3 octobre 2018, M. NDIHOKUBWAYO Domitien, Ministre burundais des Finances, était au Parlement burundais afin de convaincre les législateurs Barundi de l’importance de l’ouverture au Marché des Capitaux et à voter son projet de loi régissant le marché des capitaux du Burundi.
M. NDIHOKUBWAYO y avait expliqué que le marché des capitaux se définissait comme lieu de rencontre entre pourvoyeurs de capitaux et les demandeurs de capitaux et ce dernier était l’une des composantes que manque le secteur financier du Burundi. Ajoutant le marché des capitaux permettra le contact direct entre les agents économiques à besoin de financement et les agents à capacité de financement. Le marché des capitaux remplira la fonction de transfert de pouvoir actuel sous forme monétaire.
[ https://www.youtube.com/watch?v=3PoqBpVxL1o ]
Au Burundi, la Politique de l’Impôt reprise dans le Code Générale des Impots au Burundi : https://burundi-agnews.org/wp-content/uploads/2017/11/bdi_burundi_code_general_des_impots_-au_burundi.pdf fait parti de la Politique de Redistribution de la Richesse des Barundi.
Les Barundi sont, comme les Africains, des peuples COMMUNAUTAIRES. Cette volonté de vouloir s’ouvrir aux capitaux mobiliers obligera les autorités burundaises à mettre en place une législation fiscale TAXANT LE CAPITAL MOBILIER SUR LES TRANSACTIONS BOURSIÈRES. Car l’ouverture au marché des capitaux encouragera l’INDIVIDUALISME l’évasion fiscale ( la Fraude ) et donnera du travail à l’ingénierie fiscale [ https://www.youtube.com/watch?v=yYtr93gJgN4 | https://www.youtube.com/watch?v=KClf3LgnDWo ] à laquelle aura recours les Burundais fortunés afin d’éviter de payer les impôts.
[ https://www.youtube.com/watch?v=ia6XtC4wJZA&t=72s ]
[ https://www.youtube.com/watch?v=yYtr93gJgN4 ]
[ https://www.youtube.com/watch?v=KClf3LgnDWo ]
DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, Lundi 12 novembre 2018