A New-York, ce lundi 28 septembre 2015, S.E. Vladimir Poutine, Président de la République de Russie, une des plus grandes puissances mondiales contemporaines, a fait un discours qui a permis à la justice burundaise de pouvoir avancer dans le dossier de la tentative de Coup d’Etat du mercredi 13 mai 2015 au Burundi et de la volonté de la faire suivre d’une guerre civile…
La semaine dernière, un des leaders d’un groupuscule d’opposition (CNARED) vivant en Europe, dont l’organisation finance des assassinats ciblés et des actes de terrorisme ( jet de grenades sur des citoyens burundais) sur la sol burundais, a reconnu l’appui de certains pays occidentales. Cela a permis à la justice burundaise de tenter d’y voir beaucoup plus clair ( financement, appuie diplomatique et logistique ) dans la volonté de faire suivre au Coup d’Etat manqué du mercredi 13 mai 2015 au Burundi, une guerre civile … Le Burundi n’est pas rester assis. La CIRGL va bientôt envoyer une délégation au Rwanda, pays qui abrite les agresseurs du Burundi, afin de rappeler à ce pays le principe de bon voisinage entre les pays des Grands Lacs …
Voici le Discours de S.E. Vladimir Poutine, Président de la République de Russie, à l’ONU : https://www.youtube.com/watch?v=vsHHemo5SAg&feature=share
Selon la compréhension de ce discours magistral de politique internationale, les récentes révolutions démocratiques ou Révolution de Couleur ont pour vocation à démolir l’Etat. Les acteurs , au premier plan, de cette démolition sont souvent pris parmi les locaux, mais, cachés derrière, des canaux de financement et de soutien politique des cerveaux de cette destruction.
Par exemple, dans le cas du Burundi, avec la Révolution de Couleur que le pays vient de vivre, les cerveaux de la tentative de renversement du pouvoir burundais, ont participé financièrement dans l’appui médiatique et diplomatique, notamment.
Ces cerveaux ( USA, France, Belgique) ont agis dans le non respect de la Chartes des Nations Unis. De plus, ils ( USA, France, Belgique) ont réagis ainsi parce que le régime actuel burundais, au nom de la liberté du commerce et des investissements ( principe de l’OMC ), a fait ses propres choix économiques. Ils ont ainsi transgressé les normes internationaux en matière commercial.
En conclusion, il revient à l’Etat du Burundi :
1) d’exiger des sanctions juridiques contre les cerveaux ( USA, France, Belgique ) pour avoir transgressé la Charte des Nations Unis ( notamment ces pays accusés ont appliqué l’ingérence direct ).
2) avec ses partenaires commerciaux lésés ( les multinationales qui ont des contrats d’exploitations au Burundi ) de porter plainte à l’OMC et aux Nations Unis, pour avoir tenter de tricher en contournant les lois internationaux qui régissent le commerce international en tentant un Coup d’Etat le mercredi 13 mai 2015 au Burundi, et à poursuivre en voulant plonger le pays vers une guerre civile.
Le Burundi doit convoquer une réunion d’urgence à l’Union Africaine pour qu’elle prenne des sanctions contre ces 3 pays pour que, d’abord, ‘ils ne s’en prennent à d’autres nations du continent, et ensuite, et surtout pour stopper la tentative de ces 3 pays agresseurs de pousser vers une guerre civile au Burundi.
DAM, NY, AGNEWS, le mardi 29 septembre 2015