GUERRE ÉCONOMIQUE – Le Taux de Croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) n’a pas été négatif ni en 2015 ni en 2016 comme l’indique les rapports de la BANQUE MONDIALE.
A Bujumbura, Kigobe, au Parlement Burundais, mardi 14 mars 2017, S.E. Butore Joseph, Vice-président du Burundi en charge de l’économie, s’est exprimé sur le bilan économique du pays au 2ème semestre 2016, devant les Députés et les Sénateurs …
Selon M. Ndikumana Claude, analyste économique burundais : ” Le Taux de Croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) en 2015 au Burundi a été présenté comme NEGATIVE à -3.9% par un RAPPORT ERRONE de la Banque Mondiale [ https://burundi-agnews.org/economie/burundi-les-fausses-donnees-2015-de-la-banque-mondiale-sur-le-pays/ ] en 2016. Alors que depuis 2005, le Burundi jouissait d’une évolution intéressante de son économie avec un Taux de Croissance PIB positif variant entre 0,9% en 2005 à 4.5 % en 2011. Le Produit Intérieur Brut PIB par habitant avait plus que doublé passant de 106 USD en 2005 à 215 USD en 2011. Cette tendance économique perdure toujours car l’économie burundaise ( sa structure ) repose sur le PRIMAIRE et le SECONDAIRE, et elle est poussée par une CROISSANCE IMPORTANTE de la ZONE EAC (East African Community) dont il fait parti.
Or la production de café en 2015 est passé de 18000 t contre 14000 t en 2014 [ https://burundi-agnews.org/economie/burundi-une-production-de-cafe-en-2015-de-18000-t-contre-14000-t-en-2014/ ], et celle du thé, une augmentation de 56% des recettes de l’exportation en 2015 [ https://burundi-agnews.org/economie/burundi-augmentation-de-56-des-recettes-de-lexportation-du-the-burundais-en-2015/ ]. L’indice mensuel de production industrielle moyen a progressé de 1,7 % entre 2015 et 2016 au Burundi.
En 2015, le PIB par habitant au Burundi était passé à 315,2 dollars USD contre 267,11 USD en 2013 et 0,9% en 2005. Un PIB par habitant toujours en croissance …
L’argument utilisé par le fonctionnaire de la BANQUE MONDIALE qui s’est prononcé pour une CROISSANCE NÉGATIVE en 2015, repose sur ce qu’il appelle des tensions socio-politiques. On est dans le sentimental et non dans les chiffres. L’économie, c’est des chiffres ! La question est qu’elle est l’impact de ces tensions politiques par rapport à l’économie agricole et industrielle du Burundi ? On vient d’y répondre par des faits économiques. Il y en a pas !“
Le Burundi vit une GUERRE HUMANITAIRE [ https://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/ ] mais aussi une GUERRE ECONOMIQUE ( Cfr. le rapport de la BANQUE MONDIALE de janvier 2016 ). Ces 2 GUERRES sont menées par l’intermédiaire de média étrangers ( et certains locaux privés ) mais aussi avec l’aide de certains fonctionnaires internationaux, souvent occidentaux ou des locaux du Réseau de l’ancien dictateur HIMA Burundais BUYOYA Pierre. Leur objectif est de créer un BURUNDI (FICTIF) NEGATIF prenant la place du BURUNDI (REEL) POSITIF. Les GUERRES HUMANITAIRE ET ECONOMIQUE que subissent les BARUNDI s’appuient sur l’IMAGE et non les FAITS, ou la réalité. Selon M. Ndikumana, les communicants Barundi, qui sont payés pour cela, doivent s’imposer et non laisser faire leurs rapports HUMANITAIRES ( CNIDH – http://cnidh.bi/ ) ou ECONOMIQUES ( ISTEEBU – http://www.isteebu.bi/ ) par des organismes étrangers ou des fonctionnaires étrangers.
DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, le mardi 21 mars 2017