{jcomments on}U.S. Secretary of State Hillary Clinton has laid out the U.S. strategy on relations with China, reaffirming that the United States welcomes China as a rising power…
BURUNDI :
Burundi : présence allégée des Nations Unies
16-01-2011 / http://www.lesafriques.com/burundi/burundi-presence-allegee-des-nations-unies.html?Itemid=229?article=273130
Selon la résolution 1959 du Conseil de sécurité de l’ONU, le Bureau intégré des Nations Unies au Burundi (Binub), en place depuis le 1er janvier 2007, vient de changer de nom et de mandat.
Depuis samedi 1er janvier, une « structure plus légère », le Bureau des Nations Unies au Burundi (Bnub), a été mis en place.
D’après le Ministère burundais des relations extérieures, le Bnub, qui sera dirigé par Karen Land Graen, une Suédoise actuellement représentante adjointe de l’ONU au Népal qui doit prendre son poste en février, verra son personnel passer de quelque 450 personnes à 50 à 60 personnes.
Cet allègement est à imputer aux importants progrès faits par ce pays pour éradiquer la violence politique et consolider la paix. Des progrès qui restent toutefois fragiles, d’où l’appui de cette structure plus légère, l’actuel Bnub.
Le Burundi adopte un budget 2011 de plus d’un milliard de dollars
Pana 16/01/2011 / Economie-Burundi – Le chef de l’Etat burundais, Pierre Nkurunziza, a promulgué, jeudi, la loi budgétaire 2011 d’un montant de 1.026 milliards de Francs burundais (soit environ 1 milliard de dollars américains) contre 726 milliards de Francs burundais en 2010, apprend-on de source proche de la présidence de la République à Bujumbura.
C’est le plus gros budget de fonctionnement que l’Etat burundais ait jamais voté dans des proportions dépassant le milliard de dollars.
C’est également pour la première fois que le secteur de l’agriculture et de l’élevage est prioritaire et se voit accorder une augmentation budgétaire de l’ordre de 11%, alors qu’il plafonnait l’année dernière encore à 3% du budget global.
Le projet de loi avait été préalablement discuté et approuvé par l’Assemblée nationale, puis le Sénat burundais.
Dans les détails, la nouvelle loi des Finances montre que les ressources du budget de l’Etat, y compris les dons extérieurs, passent donc de 726,469 milliards de Francs burundais (près de 726 millions de dollars us), en 2010, à 927,359 milliards (près de 927 millions de dollars US), en 2011, soit une augmentation de 27, 65%.
Les charges du budget général de l’Etat, quant à elles, passent de 863,059 milliards de Francs burundais (environ 863 millions de dollars US) dans le budget de 2010 à 1.026,173 milliards (un peu plus d’un milliard de dollars) dans le budget 2011, soit un accroissement de 18,90%.
La dévaluation continue de la monnaie nationale et les besoins d’intégration à la Communauté est-africaine de libre échange (CEA) seraient pour beaucoup dans la hausse sensible du budget général de l’Etat burundais pour 2011.
RWANDA
Rwanda officers get 20 years in jail
By Vision Reporter / 17/11/2011
FORMER Rwanda Government prosecutor general Dr. Gerald Gahima has dismissed his trial and conviction by the country’s military court as a travesty of justice and an abuse of human rights.
Gahima and three other top Rwandese Patriotic Front officials were sentenced to 20 years imprisonment.
Gahima, currently exiled in Washington DC, USA, said it was a case of persecution by President Paul Kagame.
On Friday, the Rwandan military court convicted Gahima, together with former army chief Faustin Kayumba Nyamwasa, former director of cabinet Theogene Rudasingwa and Patrick Karegeya, the former director of military intelligence, to 20 years in prison for threatening state security.
The presiding judge, Brig. Gen. Peter Bagabo, slapped Nyamwasa and Rudasingwa with an extra four years for deserting the army.
The four were jointly charged with threatening state security, undermining public order, promoting ethnic divisions and insulting the president.
Gahima, in a statement also written on behalf of his colleagues, yesterday accused Kagame of wielding absolute control over the judiciary and legislature. He described the trial as illegal and political.
“The proceedings against us violate international standards of fair trial as established by human rights instruments to which Rwanda is a party.
“As we have previously indicated in statements relating to the case, the court that heard this case does not meet international requirements for a competent, independent and impartial tribunal,” Gahima said.
He said the impartiality was clearly demonstrated by the recent decision to remove and suspend from duty Brig. Steven Karyango and Lt Col. Marc Sebaganji, the military court judges who acquitted Col. Diogene Mudenge, and by the illegal incarceration of Lt Gen. Charles Muhire and Lt Col. Rugigana Ngabo.
“Rwanda’s military justice is used by President Kagame to persecute civilians and military personnel he considers to be threats,” he added.
Gahima said the trial was conducted in absentia of the convicts and the verdict could not be appealed.
He challenged the Rwandan government to release the dossier of the case to the public so that it can make its own judgment.
Gahima appealed to the international community to prevail upon Kagame to release all political prisoners, including journalists, who are in detention in Rwanda.
http://www.newvision.co.ug/D/8/12/743948
RDC –Congo
Players from Ghana, DRC in Bandari squad
By Abdulrahman SheriffPosted Sunday, January 16 2011
Bandari FC players Shaban Kenya and Michewe Mataza tussle for the ball during training session at the Mombasa Polytechnic University College on Saturday.
Bandari has released the names of its 30 players for this season’s Kenyan Premier League, including two from the Democratic Republic of Congo and a Ghanaian.
Bandari has retained their 20 players and signed the three foreigners and seven new players from other parts of Coast province to feature for this season’s KPL.
Kenya Ports Authority sports officer, Lenox Safari, announced the final list of 30 players during the team’s training session on Saturday at the Mombasa Polytechnic University College.
Foreign players are goalkeeper Daddy Masasi from DR Congo who has played for AFC Leopards and strikers Birindwa Matabishi from FC Bukavu (DR Congo), Ghana’s Simon King George and Uganda’s Simba FC player, Peter Musime.
The new players Bandari signed include Harambee Stars under-20 goalkeeper, Mohammed Hamisi from Congo United, Mohammed Mussa from Nairobi’s Posta Rangers and Ali Juma Wiza from Thika United.
Other players signed from Coast clubs are Victor Ochieng, Bernard Bugo from Malindi’s Maweni Stars, Leroy Abawata and Fred Abanda Ochieng from Magongo Rangers, Michael Mataza from Malindi United, Hussein Abdalla Koka and Abud Omar from Admiral, Erick Oduor of Coastal Kings and Oliver Mtaiti from DOAL.
The players retained are Kafani Hamisi (captain), Abdulrahman Swaleh Dura, Frankline Miheso, Samuel Okoth, Shariff Mohammed, Samuel Mayeye, Dennis Ochieng, Raphael Okello , Duncan Otewa, Chrispin Odula, Ayub Karoyo, Shaaban Kenga, Abdulwahab Mussa and Zuberi Kombo.
RD Congo: Sécuriser et réhabiliter les sites du patrimoine mondial
Pana 16/01/2011
La communauté internationale invitée à poursuivre son appui à la sécurisation et à la réhabilitation de sites du patrimoine mondial de la RDC – Le gouvernement de la République démocratique du Congo et l’UNESCO ont lancé un appel à la communauté internationale à poursuivre son soutien aux efforts de sécurisation et de réhabilitation des sites du patrimoine mondial de la RDC, dans une déclaration remise samedi à la PANA.
Cette déclaration a sanctionné la réunion de haut niveau sur les biens du patrimoine mondial de la RDC, co-présidée vendredi à Kinshasa par le Premier ministre de la RDC, Adolphe Muzito, et la directrice générale de l’UNESCO, Mme Irina Bokova.
Les deux parties ont salué l’engagement du gouvernement de la RDC dans la mise en œuvre effective des mesures correctives décidées par le comité du patrimoine mondial pour la réhabilitation de la valeur universelle exceptionnelle des sites du patrimoine en péril de la RDC avec l’appui de l’UNESCO.
Elles a également salué le plan stratégique d’action dont ces assises ont été saisies comme outil important pour atteindre ce but.
A ce propos, le gouvernement de la RDC a pris l’engagement de créer les conditions nécessaires à sa mise en valeur.
Il s’agit, notamment, du respect des dispositions de la Convention du patrimoine mondial, de la loi relative à la conservation de la nature et du Code minier, de la sécurisation des sites, du renforcement des capacités opérationnelles de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), de la réduction du braconnage commercial, de l’arrêt de l’exploitation illicite des ressources naturelles et du renforcement des efforts d’évacuation pacifique des occupants illégaux des aires protégées.
On rappelle que cinq sites du patrimoine mondial de la RDC figurent sur la liste des sites en péril.
Il s’agit des parcs de la Garamba (nord-est), de Kahizi-Biega ( est), de la Salonga (nord-ouest et des Virunga (est), ainsi que de la réserve de faune à Okapis (nord-est).
UGANDA
Editorial: Keep foreigners out of internal politics
Editorial/ http://www.observer.ug / Sunday, 16 January 2011
The current election campaigns have been strange in several ways and one of them is the participation of top political leaders from a neighbouring country – Kenya.
First, it was former minister William Ruto attending the NRM manifesto launch in November 2010. Then, it was Prime Minister Raila Odinga, joining Museveni at rallies in eastern Uganda.
Now the latest is the Vice President, Stephen Kalonzo Musyoka, campaigning with Museveni in parts of Toro, western Uganda. The Kenya VP was accompanied by Samuel Poghisio, the Kenya information minister.
It is unusual that top political leaders of one country get so involved in the internal affairs of another. One of the bitterest quarrels between Uganda and Rwanda has been over allegations that Kigali was supporting opposition leader Kizza Besigye.
However, the Kenyan politicians’ involvement in Ugandan campaigns is passing off without a major diplomatic fallout now, because the visitors happen to support the incumbent.
What if the tables turned? Would the NRM have tolerated it if the Kenyan leaders had come here to campaign for the opposition?
Reports of groups in the United Kingdom and Sweden supporting the Ugandan opposition have always been greeted with anger by Kampala.
This double standard points to the uneven ground on which the campaigns are being conducted.
Besides, there is a risk that diplomatic relations between the two countries would suffer if the opposition were to win.
And what is the ruling party giving in return, apart from short-term deals such as helping some Kenyan ministers avoid International Criminal Court (ICC) indictment?
Are we going to see President Museveni crossing the border to campaign for Raila Odinga or Kalonzo Musyoka in the Kenyan elections next year?
This has set a dangerous precedent. There is good reason why countries, including Uganda, restrict things like foreign funding in elections.
And this government has always accused the opposition of seeking foreign support. But now it’s all quiet because the incumbent is the beneficiary.
To avoid serious diplomatic problems in future, let’s keep foreigners out of our internal politics.
Uganda to benefit from IBM, Airtel IT infrastructure deal
By Othman Semakula & Justus Lyatuu (email the author)
Posted Monday, January 17 2011 / Kampala
Uganda will be part of the 16 African countries to benefit from the IBM and Bharti Airtel partnership aimed at making mobile communications more affordable as the two firms announce the completion of the IT infrastructure agreement.
The negotiations, completed last week, are part of a 10-year agreement, mandating IBM to deploy and manage Airtel’s IT infrastructure, which will provide a platform for the firm’s objective of providing affordable and innovative mobile services throughout Africa.
In an interview with Daily Monitor over the weekend, Mr V.G Somasekhar, the Airtel Uganda managing director said the partnership further emphasises the telecom’s commitment to providing affordable services to its customers.”
Rural poor
He said: “Airtel will do whatever is possible including partnering with reputable firms in order to make mobile communication more affordable to the rural poor.”
Speaking on the partnership, Mr Manoj Kohli, the Airtel chief executive officer (International) said, the deployment of cutting edge technology will provide a positive multiplier effect to customers and business partners through applications that deliver enhanced services, data and processes in real time.” Mr Bruno Di Leo, the IBM general manager, said: “The agreement fortifies our business partnership and efforts in developing smarter telecommunications networks in remote areas of the world.”
500m subscribers
Africa represents 10 per cent of the telecommunications global market, with more than half a billion mobile subscriptions and a significant potential for more growth. Mr Di Leo said the demand for new services – such as mobile internet access – spurs the need for a developed network of telecom connectivity.
The agreement will necessitate IBM to provide customer support applications that include customer relationship management, billing, and self-service that will empower customers and provide Airtel a policy approach through which it will deliver innovative and convenient 2G and 3G mobile services. The firm will also deploy a media management system to offer content such as music and video over mobile devices.
TANZANIA:
Tanzania coffee prices fall on poor quality
Sat Jan 15, 2011 By Fumbuka Ng’wanakilala / DAR ES SALAAM (Reuters) – Tanzania’s coffee prices fell at this week’s auction due to poor quality, with lower-grade beans accounting for around 60 percent of the amount on offer, the Tanzania Coffee Board (TCB) said.
The supply of top grade AA and A coffee declined as Tanzania’s harvest season for the crop edged towards its end.
“The ratio of the supply of coffee at the auction shows that high-grade coffee was below 50 percent of the total coffee sold. This affected the overall prices,” said Primus Kimaryo, TCB director of quality and promotion at the state coffee regulator.
“We have already sold 92 percent of the total estimated coffee production for this season. We are at the tail end of the harvest, and coffee beans during this stage of the season tend to be of low quality.”
Traders said they expect average coffee prices to be mixed in the remaining auctions until the end of the season in March-April.
“The prices could fluctuate in the coming auctions depending on the size of orders that exporters have committed themselves to supply to their clients,” said a trader at a leading coffee exporting company.
“Most of the high-quality coffee beans for this season have already been sold. Exporters may scramble for the few remaining high-quality beans, and this could push prices back up.”
TCB forecasts the 2010/11 (June/April) crop will rise to 55,000 tonnes in the continent’s fourth-largest coffee grower after Ethiopia, Uganda and Ivory Coast, from 36,000 tonnes in the previous season.
KENYA :
President ‘behind move on Hague’
By DAVE OPIYO dopiyo@ke.nationmedia.comPosted Sunday, January 16 2011
President Kibaki is behind the shuttle diplomacy by Cabinet ministers seeking the support of African Union to defer Kenya’s case at the International Criminal Court.
The revelation comes as Vice-President Kalonzo Musyoka told the Nation he had already secured the backing of South African and Ugandan governments, which he visited last week.
“The response of both President Zuma of South Africa and Museveni of Uganda is positive. They are fully in agreement that we must solve these issues locally. The ICC should be a court of last resort,” he said.
This week, Mr Musyoka and several Cabinet ministers are expected to continue with their diplomatic offensive to various African capitals to solicit support for Kenya’s position ahead of the AU summit, which takes place at the end of the month.
The VP is scheduled to meet Malawi President Bingu wa Mutharika, his Nigerian counterpart Goodluck Jonathan and Ethiopian Prime Minister Meles Zenawi, among others, to explain Kenya’s position.
Others who have been tasked to reach out to African presidents are ministers Chirau Ali Mwakwere (Botswana, Lesotho and Zimbabwe), Njeru Githae (Djibouti) and Dalmas Otieno (Ghana).
Mr Musyoka explained that it was President Kibaki’s wish that they make the trips to brief his colleagues in the continent on the situation. “We did not want to ambush his colleagues at the AU summit that takes place later this month,“ he said.
The VP said MPs had been recalled from their Christmas break to speed up the passage of required Bills and approve names of new appointees to crucial offices in the Judiciary and the Police before the government approaches the UN Security Council for deferment.
He said that when Parliament resumes on Tuesday, their plate would be full.
The key appointments are that of a new Chief Justice, Attorney General, Director of Public Prosecutions and Inspector General of Police.
Mr Musyoka said that in seeking to defer the cases, the government was not trying to pull out of the ICC.
AFRICA / AU :
Côte d’Ivoire: les pro-Ouattara appellent à une opération “pays mort” dès mardi
(AFP) – 17 janvier 2011
ABIDJAN — La coalition de partis politiques soutenant Alassane Ouattara a appelé à une opération “pays mort” en Côte d’Ivoire à compter de mardi, “jusqu’à ce que” son rival Laurent Gbagbo “reconnaisse sa défaite et quitte le pouvoir”, dans un communiqué reçu dimanche.
La direction du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP) demande à ses partisans et à “tous ceux qui habitent la Côte d’Ivoire et qui sont épris de paix et de justice de reprendre +l’opération pays mort+ à compter” de mardi, “jusqu’à ce que Laurent Gbagbo reconnaisse sa défaite et quitte le pouvoir”, écrit-elle.
Le RHDP avait déjà appelé à une grève générale dans le pays entre le 27 et le 30 décembre, qui avait eu un succès mitigé.
Alassane Ouattara, reconnu chef d’Etat légitime par la communauté internationale, notamment l’UA et la Cédéao, revendique la victoire comme le président sortant Laurent Gbagbo.
Ce nouvel appel à cesser le travail intervient alors que le médiateur de l’Union africaine, le Premier ministre kényan Raila Odinga, est attendu en début de semaine à Abidjan pour trouver une solution pacifique à la grave crise née de la présidentielle du 28 novembre.
Raila Odinga, médiateur de l’Union africaine pour la crise politique en Côte d’Ivoire, s’est entretenu dimanche à Abuja avec le président nigérian Goodluck Jonathan avant de se rendre à Abidjan, a indiqué une source de la présidence.
Arrivé dans la journée à Abuja, la capitale fédérale du Nigeria, M. Odinga a rencontré M. Jonathan dans la soirée, a déclaré cette source à l’AFP. “La rencontre entre les deux dirigeants vient de prendre fin”, a-t-elle indiqué.
On ne disposait pas immédiatement d’indications sur la teneur de l’entretien.
Goodluck Jonathan est le président en exercice de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), qui groupe quinze pays.
Sud-Soudan / Résultats préliminaires du référendum
Mise à jour le dimanche 16 janvier
Dans la cathédrale de Juba, un prêtre montre des cartons sur lesquels sont écrits « unité » et « séparation » lors de la messe de dimanche, le 16 janvier, au lendemain du référendum.
Des agents électoraux, épuisés par une semaine de référendum sur l’autodétermination au Sud-Soudan et le dépouillement toute la nuit, commençaient à diffuser dimanche les premiers résultats préliminaires.
La consultation, achevée samedi, devrait déboucher sur l’indépendance et la séparation en deux du plus vaste pays d’Afrique.
Selon une analyse de l’Associated Press des résultats dans 10 bureaux de vote de la capitale du Sud, Juba, près de 96 % des quelque 30 000 bulletins étaient pour la séparation, contre environ 3 % pour l’unité.
Ce n’était là qu’un petit échantillon des quelque 3,2 millions de votes enregistrés, mais la plupart des observateurs considèrent d’ores et déjà que les électeurs se sont prononcés en faveur de la sécession.
Dimanche, lors de la messe, le président du Sud-Soudan Salva Kiir, connu pour ne jamais montrer ses émotions, était tout sourire. « Nous offrons une prière de gratitude pour le fait que le référendum s’est déroulé dans le calme », a-t-il déclaré.« Nous présentons ces votes à Dieu, qui apportera le changement par le biais du peuple de ce pays. »
Le référendum sur l’indépendance a été promis au Sud, majoritairement chrétien et animiste par opposition au Nord musulman, lors de l’accord de paix de 2005, qui avait mis fin à plus de 20 ans de guerre civile Nord-Sud, un conflit qui a coûté la vie à quelque deux millions de personnes.
Si le processus se poursuit sans encombre, le Sud-Soudan devrait accéder à l’indépendance en juillet.
Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a félicité les électeurs sud-soudanais pour « la sagesse, la patience et la détermination pacifique qui a caractérisé les opérations de vote au cours de la semaine écoulée ».
Associated Press
UN /ONU :
Gbagbo redemande le départ de l’Onuci
AFP / 15/01/2011 Le gouvernement ivoirien de Laurent Gbagbo a de nouveau réclamé aujourd’hui le départ de la force de l’ONU dans le pays, l’Onuci, que les Nations unies souhaitent renforcer alors que la tension monte avec le camp du président sortant.
“Le gouvernement voudrait rappeler qu’il a demandé le retrait de l’Onuci en raison de sa partialité notoire dans la gestion de la crise postélectorale et de la non application des mesures relatives au désarmement des rebelles”, selon un communiqué lu par le porte-parole Ahoua Don Mello sur la télévision publique RTI. “Toute action visant à perpétuer cette présence n’a plus d’objet véritable pour la Côte d’Ivoire”, a-t-il averti.
L’ONU recherche actuellement 1000 à 2000 Casques bleus supplémentaires en Côte d’Ivoire. L’Onuci compte déjà quelque 9.500 éléments.
“La Côte d’Ivoire demeure ouverte à une franche collaboration avec les Nations unies qui servirait” la “paix”, a cependant assuré M. Don Mello. Le gouvernement Gbagbo, a-t-il répété, “entend trouver une solution pacifique et négociée à la crise” née de la présidentielle du 28 novembre, à l’issue de laquelle M. Gbagbo s’oppose à l’autre président proclamé Alassane Ouattara, reconnu par la communauté internationale.
L’Onuci avait accusé jeudi “les forces civiles et militaires du camp du président Gbagbo” d’avoir incendié ou endommagé cinq de ses véhicules à Abidjan, dernier en date d’une série d’incidents. Le gouvernement Gbagbo avait rejeté ces accusations.
Greatest challenge in Sudan still to come: UN chief
English.news.cn 2011-01-15 / UNITED NATIONS, Jan. 14 (Xinhua) — The biggest challenge in Sudan still lies ahead, UN Secretary-general Ban Ki-moon told reporters here on Friday as the week-long independence referendum in South Sudan entered into the sixth day.
“The biggest challenge lies before us,” Ban said at a press briefing at the UN Headquarters in New York, calling on all parties to help all Sudanese, north and south, to their common future.
“The international community has to help to resolve difficult issues: borders, movements of people, sharing resources, Sudan’s disputed region of Abyei and more,” the secretary-general said, noting that all of this had to take place within the framework of the Comprehensive Peace Agreement (CPA).
The UN said that the voting so far has proceeded “smoothly, without major incidents” with a strong turnout.
“I congratulate the parties and international partners for their efforts in the lead-up to the referendum,” Ban told reporters.
The situation in Abyei is of particular concern, Ban said. He stressed the need to prevent an escalation of tensions.
“It is important that all concerned — the CPA parties and those on the ground — refrain from unilateral actions and resume discussions on the status of Abyei as soon as possible,” he said.
The secretary-general also called for continuing vigilance in Darfur. “The recent clashes between the Government and rebel forces underscore the need for us to redouble efforts to help the parties towards a political resolution of the crisis,” he said.
The referendum, which began on Jan. 9 and is scheduled to finish this Saturday, is being held in line with the CPA that ended a 20-year civil war between north and south in 2005.
Sixty percent of the nearly 4 million voters registered for the referendum have to vote for the outcome to be valid. Preliminary results are expected to be announced by Feb. 2 and, depending on whether appeals are submitted to courts or not, the final result on whether the south secedes or remains part of a united Sudan will be declared on Feb. 7 or 14.
Editor: yan
USA :
Hu Jintao évoque des “questions sensibles” avant sa visite aux USA
WASHINGTON – Le président chinois Hu Jintao a indiqué dimanche dans la presse américaine que des “questions sensibles et des différences” pesaient sur la relation entre les Etats-Unis et la Chine, avant sa visite d’Etat cette semaine à Washington.
“On ne peut pas nier qu’il y a des différences et des questions sensibles entre nous”, a déclaré Hu Jintao, interrogé par le Washington Post et le Wall Street Journal sur l’état de la relation entre Washington et Pékin.
Le chef de l’Etat chinois qui doit arriver mardi aux Etats-Unis pour une visite d’Etat, n’a pas précisé quelles étaient ces “questions sensibles” qui pesaient sur la relation entre les deux pays.
Faiblesse du yuan, différends commerciaux, ventes d’armes à Taiwan, visite du dalaï lama, prix Nobel de la paix à Liu, liberté de l’internet, Corée du Nord ou rivalités dans le Pacifique, la liste est longue des frictions qui ont émaillé l’année écoulée.
“Les deux parties doivent garder le bon cap dans le développement de leurs relations, accroître les échanges, renforcer la confiance mutuelle, rechercher des terrains d’entente malgré les divergences, gérer adéquatement les différences et les questions sensibles et favoriser conjointement le long-terme, le développement sain et constant des relations Chine-USA”, a déclaré Hu Jintao aux deux journaux américains.
Le président chinois a par ailleurs estimé qu’il était temps de reprendre le dialogue avec la Corée du Nord après le bombardement par Pyongyang d’une île sud-coréenne en novembre 2010.
“Grace aux efforts combinés de la Chine et d’autres, il y a eu des signes d’apaisement”, a-t-il déclaré.
“Nous espérons que les parties impliquées vont saisir cette occasion de s’engager dans un échange actif, reprendre le processus de dialogue et de consultations aussi vite que possible, et s’assurer que la situation dans la péninsule va évoluer dans une bonne direction”, a déclaré Hu Jintao.
La tension était montée à son plus haut niveau entre les deux Corées après le bombardement par Pyongyang d’une île sud-coréenne en novembre, mais depuis fin décembre, le Nord a multiplié les appels à la reprise du dialogue.
La Corée du Nord a également exprimé sa volonté de retourner sous conditions à la table des négociations à Six, réunissant outre les deux Corées le Japon, la Chine, les Etats-Unis et la Russie, qu’elle avait quittée en avril 2009 avant de procéder à un deuxième essai nucléaire.
La visite, de mardi à vendredi, du président chinois, sa première sous l’administration de Barack Obama, le conduira à Washington où son homologue lui fera l’insigne honneur d’un dîner d’Etat, puis à Chicago.
(©AFP / 16 janvier 2011 21h59)
Virus Stuxnet : un projet USA-Israël ?
AFP 16/01/2011 – Les services de renseignement israéliens et américains ont collaboré au développement du virus informatique Stuxnet destiné à saboter le programme nucléaire iranien, rapporte hier le quotidien américain The New York Times.
Israël a testé l’efficacité du virus dans le complexe nucléaire de Dimona, situé dans le désert du Neguev, qui abrite le programme d’armements nucléaires israélien, indique l’édition en ligne du New York Times qui cite des experts militaires et du renseignement.
La création de ce virus destructeur est un projet américano-israélien, avec l’aide, volontaire ou non, de la Grande-Bretagne et de l’Allemagne, selon les sources du quotidien. Des experts avaient déjà soupçonné à plusieurs reprises Israël d’être à l’origine du virus Stuxnet, qui a touché les centrifugeuses iraniennes produisant de l’uranium enrichi.
Le ministre israélien des Affaires stratégiques Moshé Yaalon a affirmé fin décembre que de récentes “difficultés” rencontrées par le programme nucléaire iranien avaient retardé de plusieurs années l’éventuelle accession de Téhéran à la bombe atomique. Les Etats-Unis et une partie de la communauté internationale accusent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique sous couvert d’un programme nucléaire civil, ce que Téhéran a toujours démenti.
Détecté il y a quelques mois, Stuxnet infecte un logiciel Siemens de contrôle des automates industriels très utilisés dans les secteurs de l’eau, des plateformes pétrolières et des centrales électriques. Sa fonction serait de modifier la gestion de certaines activités pour entraîner la destruction physique des installations touchées, selon les experts.
Stuxnet aurait principalement frappé l’Iran, ce qui a laissé penser qu’il avait été conçu pour saboter ses installations nucléaires, mais il semble avoir aussi touché l’Inde, l’Indonésie ou le Pakistan.
Algérie-USA : Le Président Bouteflika reçoit le conseiller principal du Président Obama
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu hier, à Alger, le conseiller principal du Président Obama pour la sécurité intérieure et la lutte anti-terroriste, M. John Brenann.
PUBLIE LE : 16-01-2011 | http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/8012
Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu hier, à Alger, le conseiller principal du Président Obama pour la sécurité intérieure et la lutte anti-terroriste, M. John Brenann.
L’audience s’est déroulée à Djenane El-Mufti en présence du ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, et le conseiller à la Présidence de la République, M. Kamel Rezag-Bara.
M. John Brenann : “Les Etats-Unis apprécient la position de l’Algérie dans la lutte antiterrorisme”
Les Etats-Unis apprécient la position de l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme, a affirmé hier, à Alger le conseiller principal du Président Obama pour la sécurité intérieure et la lutte antiterroriste, M. John Brenann.
“Nous apprécions tout le travail que vous faites et votre position dans la lutte contre le terrorisme et nous apprécions tout ce que les forces algériennes ont fait” dans ce contexte, a déclaré M. Brenann, à l’issue de l’audience que lui a accordée le Président Bouteflika.
Par ailleurs, il a transmis, au chef de l’Etat, les salutations du Président Obama qui tient, a-t-il dit, à “renforcer ses relations avec l’Algérie”.
M. Brenann effectue une visite de deux jours en Algérie, rappelle-t-on.
“Cette visite s’inscrit dans le prolongement des relations profondes entre les deux pays, surtout en matière de coopération sécuritaire et militaire”, a indiqué dimanche l’ambassade des Etats-Unis dans un communiqué.
L’ambassade des Etats-Unis a rappelé, à cette occasion, que les échanges de visites de haut niveau, en matière de coopération sécuritaire, entre les deux pays, “ont été intensifiés” au cours des deux dernières années.
l M. Brenann a été reçu hier, par le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel.
L’entretien entre les deux responsables a donné lieu, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères, à un échange de vues sur la situation qui prévaut dans la région du Sahel et en Somalie ainsi que sur la stratégie internationale de lutte contre le terrorisme, les trafics en tout genre et le grand banditisme.
M. Messahel a développé, au cours de l’entretien, “l’approche algérienne en matière de stratégie régionale de lutte antiterroriste fondée sur la mobilisation des moyens propres aux pays du voisinage et sur l’appui des partenaires dans le domaine de la formation, du soutien logistique et du renseignement”, précise-t-on de même source.
Une “large” convergence de vues s’est dégagée sur l’ensemble des questions évoquées, souligne le ministère des Affaires étrangères.
l M. John Brenann s’est entretenu, auparavant, avec le ministre des Affaires étrangères, M. Mourad Medelci.
CANADA :
AUSTRALIA :
EUROPE :
EU freezes Ivory Coast port and bank assets
Sun Jan 16, 2011 By Ange Aboa and Juliane von Reppert-Bismarck
ABIDJAN/BRUSSELS (Reuters) – The European Union on Saturday increased the pressure on Ivory Coast leader Laurent Gbagbo to step down, freezing assets of the West African country’s cocoa-exporting ports, its state oil firm and three banks.
The latest move in international efforts to persuade Gbagbo to quit after an election he is widely held to have lost, the EU announced a sanctions list that included state refiner SIR, the country’s rubber sector body, energy utility SOGEPE and national broadcaster RTI.
Gbagbo’s camp brushed off the tighter sanctions and said he still had access to accounts at West Africa’s central bank, even though regional leaders recognise his rival Alassane Ouattara as the legitimate leader of the world’s top cocoa grower.
“Westerners often make this mistake. The world does not stop at Europe, it does not stop at America,” Gbagbo’s government spokesman Ahoua Don Mello said. “Africa has evolved. We can dispense with France, we can go elsewhere,” he added, referring to Ivory Coast’s former colonial ruler.
The United Nations human rights office said at least 247 people have been killed in violence in Ivory Coast since the disputed presidential election on November 28, which risks sending the country back into civil war.
The EU’s Official Journal said the firms and utilities were “helping to fund the illegitimate government” of Gbagbo.
The EU first imposed sanctions on Gbagbo and his backers in December after the election that world powers and African neighbours say Ouattara won. Gbagbo cites a Constitutional Council ruling that the results were rigged against him.
Broadcaster RTI was guilty of “public incitement to hatred and violence through participation in disinformation campaigns in connection with the 2010 presidential election”, the EU Journal said.
CHINA :
U.S. for building trust with China
XINHUA / WASHINGTON, janvier 16, 2011— AP Secretary of State Hillary Clinton speaks about China on Friday at the State Department in Washington.
Must weather disagreements when they arise, she says
U.S. Secretary of State Hillary Clinton has laid out the U.S. strategy on relations with China, reaffirming that the United States welcomes China as a rising power.
“As we build on our record of the past two years and shape the future of our relationship, the Obama administration is pursuing a strategy with three elements that all reinforce one another,” said Ms. Clinton in a speech delivered at the State Department ahead of Chinese President Hu Jintao’s state visit to the United States this week.
Ms. Clinton said the U.S. is practising a robust regional engagement in the Asia-Pacific, working to build trust between China and the United States, and expanding economic, political and security cooperation with China wherever possible. Talking about the first element, U.S. engagement in the Asia- Pacific, Ms. Clinton said the United States is both an Atlantic and a Pacific power and is committed to relationships through both of these two great oceans.
“We are firmly embedding our relationship with China within a broader regional framework because it is inseparable from the Asia-Pacific’s web of security alliances, economic networks, and social connections,” she said.
The second element of U.S. strategy is to focus on building bilateral trust with China, she said. “We need to form habits of cooperation and respect that help us work together more effectively, and weather disagreements when they do arise.” Ms. Clinton said the most notable example of such efforts is the Strategic and Economic Dialogue, which brings together hundreds of experts from dozens of agencies across both governments, not only to discuss an unprecedented range of subjects, but to inculcate that ethic or habit of cooperation across the two governments. She said both countries would also benefit from sustained and substantive military-to-military engagement and new and deeper bonds forged between two peoples.
“The third element of our strategy is expanding our work together, along with the rest of the international community, to address these shared challenges: global recession, nuclear proliferation, terrorism, piracy on the high seas. These are threats that affect all of us, including China, and China is joining us in confronting them,” said Ms. Clinton.
“In the aftermath of the global financial crisis, the United States and China worked effectively through the G-20 to help spur recovery. Can you imagine where we would be economically if either China or the United States had failed to work together so constructively? ” she said when talking about bilateral cooperation on the economic front.
She said the two countries also need to work on some of the global strategic issues that confront them, noting that U.S.-China cooperation at the U.N. Climate Conference held in Mexico in November last year was critical to the conclusion of the Cancun Agreement.
Ms. Clinton said cooperation between the U.S. and China could also make a significant impact on international development and security issues.
Talking about the future of U.S.-China relationship, the Secretary of State suggested that the two countries should work together for a better future.
“Today we have a positive relationship with China and the chance for a very positive future,” she said. “The United States welcomes China as a rising power. We welcome China’s efforts not only to lift their own people out of poverty, but to export prosperity and opportunity.” “We look forward to a time when our future generations can look back and say of us, ‘They didn’t just talk about a positive, cooperative and comprehensive relationship. They made the right choices, they worked together, they delivered results and they did leave us a better world,’” she said.
“That is our vision, and that is our commitment for this most important relationship,” said Ms. Clinton said.
Keywords: U.S., China, Secretary of State, Hillary Clinton, Asia-Pacific, financial crisis
INDIA :
India’s petrol prices increase by 4.5%
By James Fontanella-Khan in Mumbai / Published: January 16 2011
India’s state-run fuel retailers have increased petrol prices by about 4.5 per cent, the second rise in a month, in a move that will add to the pressure on Asia’s third-largest economy as it struggles to fight record high inflation.
Sunday’s move comes on the back of soaring global crude oil prices, highlighting economists’ concerns that the rapid increase in commodity prices. is hitting the broader economy.
Indian Oil Corp, the country’s biggest retailer, is to raise prices by about Rs2.50 (five US cents) a litre, and Bharat Petroleum Corp and Hindustan Petroleum Corp plan increases of Rs2.53 a litre and Rs2.54 respectively. In late December they lifted prices by about 5.5 per cent.
Opposition parties criticised the government for allowing increases when millions of people were struggling to buy basic food products to survive.
The rightwing Hindu nationalist opposition Bharatiya Janata party demanded an immediate rollback of the measure. “This hike is totally unjustified. This is nothing but loot of the common man by the government,” said the BJP’s spokesperson.
Although state-run fuel retailers have been free to set their own prices since June, when India decided to end state control over prices and allow them to move freely with global markets, any increase is still informally approved by central government.
The latest rise will hurt millions of poor Indians who have been struggling to make ends meet in recent months amid spiralling food prices and strengthen expectations that the Reserve Bank will lift lending rates later this month to tame inflation.
“We expect the RBI to hike policy rates by 25 basis points in the January 25 policy meeting and by a cumulative 100 basis points in calendar year 2011,” said Tushar Poddar, chief India economist at Goldman Sachs.
India’s wholesale price index, the country’s main inflation indicator, rose 8.43 per cent year-on-year in December compared with 7.48 per cent in November.
However, the cost of food rose by as much as 18 per cent in the last month of 2010 and there are few signs it will abate in the coming weeks, say economists.
“Over the last four weeks, vegetable prices have spiked up to 70.7 per cent year-on-year as of the week ended January 1,” said Chetan Ahya, economist at Morgan Stanley. “The spike has been extreme in vegetables, including onions, tomatoes, eggplant, cauliflower and cabbage.”
BRASIL:
EN BREF, CE 17 janvier 2011… AGNEWS /DAM, NY,17/01/2011