[Two leading opposition candidates in Senegal have said they will start campaigning on Sunday to dislodge President Abdoulaye Wade from power. Others remain committed to repealing his candidacy. One analyst doubts the divided opposition will succeed on either front.]
BURUNDI :
Le président burundais reçoit un prix décerné par l’Alliance des chefs d’Etat Africain contre la malaria
Jeudi 2 février 2012 /Xinhua
BUJUMBURA (Xinhua) – Le chef de l’Etat burundais Pierre Nkurunziza a reçu mercredi, des mains de son premier vice- président Thérence Sinunguruza qui vient de rentrer du 18ème Sommet de l’UA, un prix d’excellence décerné par l’Alliance des chefs d’Etat de l’UA dans la lutte contre la Malaria.
“Nous venons de recevoir ce prix consacré par une Association des Chefs d’Etat de l’Afrique mais aussi appuyée par la Banque mondiale en reconnaissance du programme de lutte contre la malaria que nous avons initié dans notre pays”, a déclaré à la presse le Président Pierre Nkurunziza.
Ce programme concerne les mesures de gratuité des soins de santé que son gouvernement a prises en faveur des enfants de moins de cinq ans et des femmes qui accouchent dans les structures de soins publiques, les deux catégories de personnes étant les plus vulnérables face à la malaria.
Il a également fait savoir que c’est en reconnaissance des initiatives de la présidence pour ce qui est de la construction à grande échelle des centres de santé à travers le pays, surtout là où il n’y en avait pas.
Ces initiatives ont été prises dans le cadre de ce qu’on a appelé les Travaux de Développement Communautaire qui concernent non seulement la construction des infrastructures hospitalières, mais aussi la plantation des arbres y compris surtout les arbres fruitiers, et la construction d’autres infrastructures publiques.
Outre le Burundi, des prix ont été décernés au Rwanda et au Mozambique pour leur rôle dans la lutte contre le paludisme.
Burundi : les employés de l’ENS observent un arrêt de travail pour une durée illimitée
Jeudi 2 février 2012/Xinhua
BUJUMBURA (Xinhua) – Les employés de l’Ecole Normale Supérieure (ENS) du Burundi ont entamé jeudi un arrêt de travail pour une durée illimitée suite à l’imposition sur leurs différentes indemnités salariales.
Selon Etienne Barahinduka, président du syndicat des travailleurs de l’ENS, le motif de cette grève est la décision de la direction générale de cette institution visant à appliquer les impôts sur les salaires et indemnités en se référant seulement au code des impôts de 2006 tout en ignorant l’ordonnance ministérielle de la même année.
M. Barahiduka a déploré que l’Impôt Professionnel sur Rémunération (IPR) ait été multiplié par deux ou même par trois pour certains employés.
D’après lui, les syndicalistes pourraient néanmoins mettre fin à ce mouvement de grève au cas où leurs doléances trouveraient une solution adéquate.
Depuis environ sept mois, plus de 300 étudiants du département des sciences appliquées de l’ENS sont en grève dans le cadre des revendications liées aux conditions d’étude.
Burundi : mise à jour d’un règlement visant la bonne gestion du charroi de l’Etat
Jeudi 2 février 2012 /Xinhua
BUJUMBURA (Xinhua) – Le ministère burundais des Transports, des Travaux publics et de l’Equipement vient d’ instaurer un nouveau règlement visant la bonne gestion du charroi de l’Etat, rapporte jeudi la Radio Sans Frontières (RSF/Bonesha FM) en citant une déclaration ad hoc du ministre burundais des Transports, Moise Bucumi.
Selon le ministre Bucumi, seulement les plus hautes autorités républicaines sont autorisées à se déplacer dans des véhicules de l’Etat même pendant les jours fériés, car leurs hautes fonctions leur accordent de telles prérogatives.
Les autres personnalités qui ne se retrouvent pas dans cette catégorie précité seront sanctionnées sévèrement une fois qu’ils seront surpris en train d’abuser du charroi de l’Etat.
RWANDA :
Accused war criminal Leon Mugesera charged in Rwanda
Published On Thu Feb 2 2012/Bosco Hitimana and Philippa Croome/ Special to the Star
KIGALI, RWANDA—Nine days after he was deported from Canada to Rwanda, accused war criminal Léon Mugesera was charged with genocide planning, incitement and distribution of arms in front of a packed Kigali courtroom.
The 59-year-old made his first court appearance Thursday after losing his 16-year legal battle to stay in Canada.
Mugesera, who was escorted to court in handcuffs but looked calm and collected in a grey suit, asked the judge for “one to two months to look for a lawyer.” His trial was stayed until April 2 so he can find representation of his choice.
He is to enter a plea then, and he was denied bail in the meantime.
Martin Ngoga, Rwanda’s prosecutor general, accepted the delay for Mugesera to find a lawyer, but said there was “no way” his case would take as long to play out in Rwanda as it did in Canada.
“We understand this is something he’s entitled to, but lawyers must be available as soon as possible,” Ngoga said.
“We can’t wait forever. It can’t be an open-ended exercise.”
Mugesera is accused of inciting and planning the 1994 Rwandan genocide, which saw at least 800,000 of the country’s Tutsi minority massacred by Hutu extremists over 100 days.
His charges arise from a speech he gave at a then-ruling party meeting in 1992, in which he compared the minority Tutsis to cockroaches and called upon the majority Hutus to exterminate them.
The courtroom was teeming with close to 100 observers Thursday, and at least 100 more were lined up along the fence outside.
“It is my first time to see him,” said Pierre Gasigwa, a 29-year-old Rwandan. “I’ve heard comments about his speech but I really wanted to see him, because everyone is now talking.”
Rwandan President Paul Kagame said he was certain Mugesera would get a fair trial, AFP reported.
UNHCR Denies Forcing Rwandan Refugees to Go
2012-02-02 / Xinhua / Web Editor: liuranran
The head of the United Nations High Commissioner for Refugees (UNHCR) in Zambia has denied assertions that her organization is forcing Rwandan refugees to return to their country, saying the UN agency can never be involved in “forced return but does facilitate voluntary repatriation of refugees.”
The Rwandan refugees recently staged a peaceful demonstration in which they accused the UNHCR of working together with the Zambian and Rwandan governments to force them to return to their country under the cessation clause. They argued that it is still not safe to return to their country.
In a statement released on Thursday, UNHCR Representative in Zambia Joyce Mends-Cole said it is not true that the organization is conniving with the two governments to have Rwandan refugees be taken back to their country. Only those who fled the country as a result of the violence that erupted between 1959 and 1994 in that country will have their refugee status revoked, the official added.
“UNHCR is recommending countries of asylum, including Zambia, to invoke the ‘ceased circumstances cessation clause’ in respect of Rwandan refugees who fled their country of origin between 1959 and Dec. 31, 1998, latest by June 30, 2013,” she said.
“In Zambia, Rwandan refugees who feel that it is not safe for them to return to Rwanda were invited last year to submit individual applications for exemption from cessation. The majority of Rwandans registered as refugees in Zambia applied for exemption, and most of these applications are still in the process of being reviewed and determined,” she added.
According to the official, Rwandan refugees who fled their country after 1998 still retain their refugee status and that countries hosting Rwandan refugees have been given up to 30 June, 2013 to implement exemption procedures in which individual applications from Rwandan refugees, who feel it is not safe for them to return, are to be examined.
This means that individual Rwandans may have their status ceased at different points, between now and 30 June 2013, depending on where they are in the voluntary repatriation, local integration or exemption process, she added.
She further said the UNHCR is advocating for local integration for those refugees whose best durable solution may be to remain in Zambia.
As of Dec. 31, 2011, Zambia was hosting 4, 659 refugees at two of its refugees camps — Mayukwayukwa and Meheba — in the western part of the country.
RDC CONGO:
RDC: quatre morts dans une fusillade à Goma impliquant un député sortant
jeudi 02 février 2012 /Source: Belga
(Belga) Quatre personnes ont été tuées jeudi tôt dans une fusillade survenue à Goma, le chef-lieu de la province du Nord-Kivu (est de la République démocratique du Congo) entre des militaires et la garde rapprochée d’un député congolais sortant, a rapporté la radio onusienne Okapi.
Deux militaires des Forces armées de la RDC (FARDC), un policier qui assurait la garde du député et un autre accompagnant les militaires ont été tués. Plusieurs militaires FARDC auraient également été blessés, a précisé Radio Okapi, parrainée par l’ONU, citant des sources locales. L’échange de tirs a impliqué des militaires et la garde rapprochée du député sortant Dieudonné Bakungu Mitondeke. Selon des témoins, les militaires auraient encerclé la résidence du député à 04h00 locales (03h00 HB) pour y procéder à une perquisition. Une discussion s’en serait suivie entre les gardes et les militaires qui ont fini par échanger des tirs. Les FARDC accusent M. Bakungu de détenir illégalement des armes et d’entretenir une milice privée, accusation que le député sortant rejette. Candidat aux législatives du 28 novembre dernier pour le compte de l’Union pour la Nation congolaise (UNC), le parti de l’ancien président de l’Assemblée nationale Vital Kamerhe, il attend d’être fixé sur son sort. Les scrutins ont été annulés dans sa circonscription de Masisi (au nord de Goma), faute de compilation de résulats de plus de quatre-vingts centres de vote. (JAV)
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