GÉOPOLITIQUE, GRANDS LACS AFRICAINS, SECURITE, JUSTICE – La Belgique serait le – responsable premier – du mouvement insurrectionnel déclenché le dimanche 26 avril 2015 au Burundi.
BUJUMBURA, Mercredi 16 octobre 2019 – Dans le cadre des Politiques Etrangère, Globale, de Défense, et Intérieure, Sécuritaire et Judiciaire des Barundi, la Justice burundaise va poursuivre le procès concernant le dossier répressif numéro RMPG 696/MA ouvert depuis avril 2015 [ https://www.fidh.org/IMG/pdf/20150909_justice_burundaise_rapport-commission-enquete_insurrection_final.pdf ].
Des éléments nouveaux ont été déposés dans le dossier. La cause du mouvement insurrectionnel déclenché le dimanche 26 avril 2015 a été trouvée.
Le modus operandi du responsable principal de l’organisation de ce mouvement insurrectionnel a été confirmée ce mardi 15 octobre 2019.
La Belgique via l’ Egmont Institute ( Ministère Belge des Affaires Etrangères ), soit EGMONT – Belgian Royal Institute for International Relations provides a platform for interdisciplinary research & debate on European & international affairs, a sorti, comme en 2013, la thématique de perturbation électorale pour les élections de 2020 au Burundi.
Comme en 2013 et 2014, où un universitaire belge avait la lancé la thématique de perturbation des élections de 2015 au Burundi : M. Stef Vandeginste [ https://www.iwacu-burundi.org/lesprit-darusha-est-contre-un-3eme-mandat-de-pierre-nkurunziza/ ], ce mardi 15 octobre 2019, Mme Nina Wilén ( Research Director Africa Program, Egmont Institute, Assistant Prof, ULB, Global Fellow, PRIO), une universitaire belge a lancé la thématique de perturbations des élections de 2020 au Burundi.
Voilà la thématique d’attaque sur le Burundi, en mots clés, pour cette période électorale 2020 qu’elle propose : #Refugees ; #CNDD_FDD ; #CNL ; #Imbonerakure ; #Malaria ; et #Ebola
Pour la justice burundaise, c’est une aubaine car Mme Nina Wilén, sur son Tweet, a indexé les réseaux à qui est destiné son travail de consultance. Voici la liste des destinataires ( Cliquer dessus pour plus de détails ):
Dans la Guerre Géopolitique que mène l’Occident dans les Grands Lacs Africains contre la Chine, les multinationales occidentales ont créé une économie parallèle. Cette économie est globalisée et est appelée : L’industrie des Multinationales Occidentales. Les destinataires du travail de Mme Nina Wilén sont les responsables consultants des consultants vivant de cette industrie des Multinationales Occidentales. On remarque que ce sont majoritairement des acteurs médiatiques, des défenseurs des droits de l’Homme et des politiciens occidentaux. Bref, la preuve d’une préparation d’une campagne de déstabilisation de grande envergure du Burundi est trouvée, s’appuyant sur une Guerre Médiatique sans pitié et la poursuite d’une Guerre Humanitaire contre le Burundi [ https://burundi-agnews.org/guerre-humanitaire/] .
La Justice burundaise se saisit de cette affaire, en rouvrant le dossier RMPG 696/MA. L’insurrection de 2015 ou Révolution de Couleur de 2015 au Burundi [ https://burundi-agnews.org/revolution-de-couleur/ ] a causé :
1/ la mort de plusieurs centaines de citoyens Barundi, notamment de nombreux jeunes embrigadés par des organisations et des responsables média burundais, financés depuis l’Union Européenne (UE) et les USA ( Réseaux Soros );
2/ l’exode de dizaine de milliers de Barundi ( les réfugiés ), suite à la propagation de rumeurs médiatiques négatives et de peur sur le Burundi [ https://burundi-agnews.org/les-refugies-burundais/ ] ;
et 3/ la chute de la croissance économique et la perte de plus de 5 Milliards USD au niveau économique depuis 2015 à nos jours.
Le Burundi se demande au nom de quel droit la Belgique continue de s’immiscer dans les affaires internes et souveraines des Barundi. Le Burundi est un pays indépendant depuis 1962, suite à la Colonisation allemande puis belge commencée en 1903 ( Cfr. Conférence de Berlin, 1884-1885 ).
La Colonisation, comme l’Esclavage, sont des crimes contre l’Humanité. Elles ont occasionné plus de 300 Millions de victimes Amérindiennes et Africaines entre le 15ème et le 20ème siècle. Aucun responsable de ces crimes n’a encore été interpellé par un quelconque tribunal pénal international.
Le Burundi n’intervient jamais dans les affaires internes de la Belgique. Au nom de quel droit la Belgique, elle, peut le faire ?
DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, Mercredi 16 octobre 2019