Trafic international d’organes humains : le TGI de MUYINGA condamne 4 individus ( 2 TANZANIENS, 2 BARUNDI ) responsables de l’assassinat d’1 enfant de 14 ans, tentant d’honorer un contrat de 250 cadavres.

MUYINGA ( Commune MUYINGA ), 4/12/2021 – Le Tribunal de Grande Instance ( TGI ) a condamné, en audience publique, 4 individus à la perpétuité. Ayant causé la mort d’un enfant de 14 ans. S’agissant de 2 BARUNDI de la colline CIBARE et de 2 TANZANIENS.
L’enfant a été tué le vendredi 17 novembre 2021 par les 2 assassins BARUNDI. Les 2 TANZANIENS sont arrivés à MUYINGA le samedi 18 novembre 2021 pour emporter le cadavre, parmi un contrat de 250 cadavres. Là, la Police Nationale du BURUNDI (PNB) les a arrêtés…
     Ce commerce macabre d’organes humains est causé par la forte demande en organes des hôpitaux en occident. Des privés occidentaux, soit disant aidant de pays africains sous forme de coopérations multilatérales ( ONGes humanitaires etc. ) à la construction d’hôpitaux ou de centres de santé, y ont installés des centres de transplantation [1] en quête d’organes transférables. Mettant en place des partenariats avec des commerçants véreux et immoraux africains , opérant , avec une couverture raciste envers l’Afrique toute trouvée, celle de la sorcellerie, avec des amateurs de sacrifices ou d’amulettes à base d’organes humains, ou recherchant des albinos. Ce trafic de sang et d’organes humains est fleurissant : 9.000 USD par cadavre [2].
    Ainsi, à la Police Nationale du BURUNDI (PNB), la police judiciaire burundaise, en collaboration avec la TANZANIE, poursuit son enquête afin de tenter de démanteler le réseaux.

NOTES :
[1] Trafic d’organes : le vaste réseau de « Docteur Vautour », chirurgien turc – https://www.courrierdesbalkans.fr/trafic-d-organes-le-vaste-reseau-de-docteur-vautour-chirurgien-turc
[2] Economie parallèle : le trafic de sang et d’organes humains endeuille l’Afrique | http://www1.rfi.fr/fichiers/MFI/EconomieDeveloppement/625.asp

DAM, NY, AGNEWS, https://burundi-agnews.org, Mercredi 15 Décembre 2021 | Photo : JIMBERE