L’Etat Rundi a amélioré le paiement des taxes et impôts ; la solution de l’insolvabilité ; et  la protection des investisseurs.  Le Burundi a mis en place des actions judiciaires -spécifiques – à l’encontre des administrateurs en cas de transactions préjudiciables.  Doing Business 2012  note les bonnes performances du Burundi …
Transparency International 2010 classait  le Burundi à  170 ème place sur 178 parmi les pays les plus corrompus suite à  6 enquêtes menées avant octobre 2010.

Aujourd’hui en 2011, suite à la politique de – tollérance zéro – décrété en août 2010  par le Président du Burundi, S.E. Nkurunziza Pierre, la situation semble s’améliorer…  Dans un rapport publié le 20 octobre 2011 (Doing Business 2012), le Burundi  améliore son rang de 8 places, passant de 177 à 169.  En effet, les Barundi  ont entamé d’énormes réformes en 2011. Désormais le pays occupe en matière de protection des investissements le 46 ème rang mondial.
Avec son plan stratégique 2011-2015, l’OBR (Office Burundais des Recettes) est entrain de -Renforcer le civisme fiscal – grâce à un service de qualité (notamment fortement décentralisé). Les fruits sont concrêts ! Il y a  une augmentation du pourcentage de revenus par rapport aux prévisions du budget.  Par exemple, pendant les mois de Janvier à  mars 2011, l’OBR a collecté plus 90 millions de dollars américains.
S.E. Gervais Rufyikiri, Vice-Président du Burundi en charge du socio-économique, lors de son dernier passage à l’Assemblé Nationale , a proposé de poursuivre  les politiques d’accroîssement de la production et  de lutte contre toute forme de détournement des deniers publics. Il s’agit d’essayer d’arriver, pour le Burundi, d’avoir un – financement du budget –  qui soit local, et  non de provenance extérieur. Selon ce dernier, cela est possible. Il a donné les exemples du – barrage de Kayogozi –  ou de  l’hôpital de Karusi qui sont entrain d’être construits  avec des capitaux nationaux. Ces exemples sont importants car c’est pour la première fois dans l’histoire du pays que de telles infrastructures tels qu’un barrage et un hôpital sont construites sur capitaux nationaux. Les Barundi sont convaincus que  les appuis budgétaires  que l’Etat reçoit de ses partenaires économiques ne dureront pas pour toujours.  La crise économique mondiale économique frappe de plein fouets dans les économies des partenaires bilatéraux et multilatéraux.
DAM, NY, AGnews, le 23 octobre 2011.
News Reporter

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *